Impôts : le coût des prédateurs, le coût du pastoralisme
Etude de Marc Laffont et Baudouin de Menten
«Des ours, ça coûte cher, de plus en plus cher !» déclare Gil Rivière-Wekstein (7). «Jusqu’à quand les contribuables électeurs accepteront que leurs impôts soient consacrés aux ours importés de Slovénie ? » lance jean Bonnars dans un provoquant "Ras le Balou !» sur "Le Nouvelliste". Les éleveurs opposés au plantigrade cherchent des arguments du côté des impôts payés par les français. «Le pastoralisme est déficitaire et ne survit que par les subsides déclarent les défenseurs des prédateurs.»
Quels sont, pour chaque français ou pour chaque ménage imposable : cliquez
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